c était pas mal ce qu il faisait capdevielle
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Capdevielle - Cest dur detre un heros |
T'as plus qu'une chemise et fait presque zéro
T'es perché sur ta valise tu regardes passer les métros
Même les hommes en gabardine disent qu'ils connaissent tes combines
Tous les marchands de diplômes te poussent vers le train fantôme
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
S'occuper de toi
Ton papa t'a dit "Deviens qui tu penses être"
Et puis quand t'as essayé, il t'a jeté par la fenêtre
Il passe toutes ses nuits à guetter tout ce que t'écris
T'aurais pu prendre la route l'avant-veille de sa déroute
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
Te dire où tu vas
Mais c'est
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
Oui c'est
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
De ce côté-ci de la planète
Quand t'es livide, on te donne que des mots vides
Lorsque tu regardes en l'air tout, le monde te regarde de travers
Quand y a le soleil qui surnage au-dessus des toits des garages
Tes amis viennent rire de toi, même si tu trembles de froid
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
Te montrer du doigt
Des prophètes obscurs ont béni tes blessures
T'as fait voir tes cicatrices aux mouchards de la police
Le train de minuit t'appelle, on a rogné tes ailes
Y a des poignards qui s'aiguisent dans ton coin de Terre Promise
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
Et te tendra les bras
Personne ici n'attend rien, mais t'es pressé
T'as pas du voir l'écriteau "Surtout ne pas déranger"
Tu traînes dans le ruisseau, t'aurais pu tomber de plus haut
Maintenant les curieux s'attroupent et même toi parfois tu doutes
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
Te tirer de là
Tu dis que t'aimerais tant partir loin dans la nuit
Tu parles de repentir, tu parles même de paradis
T'es seul dans ton satellite et ton espoir prend la fuite
Y a plus que toi qui vois l'orage qui t'a choisi comme otage
Mais tu dis que t'as pas peur
Tu prétends que t'attends l'heure
Où ton ange en silence viendra
S'occuper de toi
Mais c'est
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
Oui c'est
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
Dur d'être un héros de ce côté-ci de la planète
De ce côté-ci de la planète
du rock a la francaise
la secrétaire !!!!
ce que je n aime pas en ce moment!!!!
l antisémitisme latent qui se développe en france
ma sciatique
que l on ai rayé ma voiture
mes poils qui repoussent
la crise financière et l incapacité de notre société a changer de modele économique
les émissions débiles a la télévision
que tout couche cher( surtout les fringues )
les gens sans culture
mon portable qui fonctionne une fois sur 2
film inspiré d une histoire véridique
The Elephant Man - Bande Annonce |
Né à Leicester, fils de Joseph Rockley Merrick et de Mary Jane Merrick née Potterton, il est l'aîné d'une famille de trois enfants, dont son frère, William, et sa sœur, Marion. Une légende colportée par lui-même veut que lors d'une parade de la ménagerie Wombwell dans les rues de Leicester, Mary Jane Merrick, alors enceinte de Joseph, trébuche et manque de se faire piétiner par un éléphant. Joseph Merrick attribua à cet incident la cause de ses malformations.
Les premiers signes de difformité sont apparus vers l'âge de 21 mois : une excroissance qui lui déforme la bouche. Très vite, d'autres malformations apparaissent, et à cinq ans à la suite d'une chute, il se met à boiter. Sa mère meurt alors qu'il est âgé de 11 ans. Son père se remarie, mais sa belle-mère ne veut pas de cet enfant monstrueux. À douze ans, sa scolarité terminée et sur l'insistance de sa belle-mère, il est obligé de chercher du travail. Il officie durant deux ans dans une manufacture de cigares, mais ses difformités de plus en plus handicapantes l'obligent à quitter son emploi. Pour gagner sa vie, il est contraint de vendre de la mercerie au porte à porte, dans les rues où il est constamment brimé. Là encore, il est contraint d'arrêter de travailler.
Expulsé du domicile par son père, il se réfugie un temps chez son oncle Charles Barnabus Merrick, avant de se faire admettre en décembre 1879 à l'hospice des pauvres de Leicester. C'est lors de son séjour en 1882 qu'il se fait retirer une partie de l'excroissance qui déformait sa lèvre supérieure et lui donnait l'apparence d'une trompe.
En 1884, il quitte l'hospice et propose à Sam Torr directeur du Gaiety Palace of Varieties de le produire comme phénomène dans son théâtre. Celui-ci et trois de ses associés organisent son exhibition sous le nom de l'« Homme Éléphant » dans des salles itinérantes. L'un d'eux, Tom Norman, montreur de curiosités anatomiques, se charge de le produire à Londres dans une boutique de Whitechapel Road en face de l'Hôpital de Londres. Ce genre de spectacle est particulièrement prisé des étudiants en médecine, et c'est l'un d'entre eux qui signale l'existence de l'homme au docteur en chirurgie Frederick Treves.
Après avoir vu le spectacle le chirurgien emprunte Joseph Merrick à Tom Norman pour une observation plus détaillée dans son bureau du Collège Royal de médecine. Après ce premier examen du 2 décembre 1884, Treves présente l'« Homme Éléphant » à la société de pathologie de Londres comme cas de difformité congénitale.
En 1885, les exhibitions de phénomènes humains sont interdites en Grande-Bretagne car considérées comme immorales aux yeux de la société victorienne.
Joseph Merrick se produit alors en Europe continentale, tandis qu'en Belgique aussi, ce type d'exhibition est de moins en moins tolérée. Dépouillé de ses économies par l'impresario allemand qui l'exhibait sur le continent, il doit rentrer en Angleterre. C'est à Liverpool qu'il reprend contact avec le docteur Treves, qui le prend en charge.
Grâce à l'intervention du directeur de l'hôpital de Londres Francis C. Carr Gomm, qui fit paraître dans le Times une annonce pour recueillir des fonds afin de subvenir aux besoins et au logement de l'« Homme Eléphant », et au soutien de la reine Victoria sensibilisée par cette cause, Joseph Merrick peut vivre ses derniers jours comme résident permanent de l'hôpital de Londres.
Il y est entretenu jusqu'à sa mort apparemment accidentelle à l'âge de 27 ans, le 11 avril 1890 : il est retrouvé le matin inanimé, apparemment mort d'étouffement dans son sommeil après que sa lourde tête s'est renversée vers l'arrière. Ne pouvant dormir étendu, il devait d'ordinaire dormir la tête penchée vers l'avant.